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Questions entendues à l’ABIM 2021, à Bâle – Voici les réponses

Besoins de traduction et défis du secteur du biocontrôle

Translation needs and challenges of the biocontrol sector

Il est toujours très utile pour moi de participer à des conférences liées au secteur de la santé, non seulement pour rencontrer en personne des partenaires commerciaux existants et potentiels, mais aussi pour m’informer sur les exigences réglementaires et les mises à jour pertinentes qui touchent au secteur.

Je me suis récemment rendue à Bâle à l’occasion de l’ABIM2021, la réunion annuelle de l’industrie du biocontrôle. L’ordre du jour et l’organisation de l’événement ont offert une excellente occasion de nouer des liens, et j’ai pu discuter avec de nombreux participants de leurs besoins et défis en matière de traduction. Voici un bref résumé des trois préoccupations les plus courantes que j’ai entendues de la part des entreprises et des solutions possibles que nous proposons.

  1. Problèmes de qualité : c’est la principale préoccupation que j’ai entendue. Mon impression générale est que les entreprises sont assez réticentes à externaliser leurs projets de traduction en raison de leur mauvaise expérience avec les agences de traduction. Cependant, dans de nombreux cas, il n’est pas possible d’effectuer cette tâche en interne, et elles essaient donc différents fournisseurs de services linguistiques.

    Notre solution : avec une clientèle solide de 700 entreprises de l’industrie chimique et plus de cinq millions de mots traduits au cours des deux dernières années, nous nous assurons que les traductions que nous effectuons sont conformes aux exigences réglementaires européennes et internationales.

  2. Délais serrés : les versions finales des certificats complémentaires de protection doivent être traduites dans un délai de cinq jours ouvrables. Quand il s’agit de 24 langues, c’est presque mission impossible ; la plupart des agences de traduction ne peuvent pas faire face à cette tâche. Il en va de même pour les dossiers d’enregistrement.

    Notre solution : au fil des ans, nous avons mis au point une méthode qui permet de fournir des traductions de la plus haute qualité dans 24 langues, quelle que soit la longueur du document. Nous disposons d’un vaste répertoire de traducteurs spécialisés dans les produits chimiques et les affaires réglementaires. En outre, nous pouvons générer les traductions au format .xml, ce qui permet à nos partenaires de gagner du temps et de ne pas avoir à les télécharger manuellement.

  3. Coûts élevés : les entreprises dépensent des sommes considérables pour les traductions relevant du domaine de la chimie, auxquelles s’ajoutent souvent des coûts supplémentaires pour retraduire ces mêmes documents en raison de problèmes de qualité.

    Notre solution : nous essayons de motiver nos partenaires à former une collaboration à long terme. Nous créons une mémoire de traduction pour chaque partenaire et accordons une remise de 60 à 80 % sur les répétitions et les correspondances figurant dans celle-ci. Ainsi, non seulement les traductions seront moins chères au fil du temps, mais leur qualité sera également assurée.

Écrit par Kristina Bitvai-Aeberhard, directrice générale d’Eurideas